Au revoir Google Reader
Eh oui, Google Reader a définitivement fermé ses portes avant-hier, le 1 Juillet 2013. Cet agrégateur de flux, plutôt discret, aura permis a beaucoup d’entre vous de rester au courant de ce qui se passe sur la toile depuis un bon bout de temps. Triste nouvelle mais néanmoins, la firme a décidé de faire un geste pour les retardataires qui ne seraient pas encore au courant. En effet, vous avez la possibilité de récupérer toutes vos données, et donc tous vos flux, jusqu’au 15 Juillet. Alors dépêchez vous mais ne vous inquiétez pas, nous allons vous expliquer comment faire.
Pour la récupération de vos données, il faut passer par le service Google Takeout. Si vous ne connaissez pas ce service sachez qu’il a été mis en place depuis un moment et permet tout simplement de récupérer toutes données stockées sur les différents services de Google. Simple et efficace.
Récupérer ses données
Première étape, se rendre sur cette page là -> ici. Vous allez ensuite voir une liste de services accompagnée de 3 onglets. Il vous suffit de choisir le service que vous voulez et de créer une archive.
Plus particulièrement, pour Google Reader, voici les étapes à suivre :
- Cliquer sur “Sélection des services”
- Choisissez le service “Reader” en cliquant dessus
- Cliquer sur “Créer une archive”
- Lorsque l’archive est terminée, cliquer sur “Télécharger”, votre mot de passe de compte vous sera demandé
- Voilà
L’archive précédemment créée contient plusieurs informations mais vous voulez sans doute récupérer votre liste d’abonnement je suppose. Rappellons que c’est grâce à celle-ci que vous allez pouvoir importer tous vos abonnements dans un autre agrégateur de flux. Et bien le fichier tant convoité s’appelle “subscriptions.xml ”.
Et après ?
C’est tout pour moi. Maintenant il vous reste à trouver un nouvel agrégateur de flux et vous avez une multitude de choix à votre disposition comme Feedly, Netvibes ou Digg Reader. Personnellement, j’ai choisi Feedly
Pour finir, prenez votre temps pour en choisir un qui vous convient car celui-là vous n’êtes pas prêt de le quitter… enfin je l’espère.