Comment sublimer vos développements avec Sublime Text – 1ère partie

Les éditeurs de textes, tout un programme ! En effet, chacun y va de sa petite préférence,  et je ne veux pas tomber dans ces excès. Non, à la place, je choisis de vous présenter de la manière la plus impartiale qui soit un éditeur que j’utilise à présent depuis un petit moment. Ayant travaillé avec bon nombre d’IDE comme Dreamweaver (ne fuyez pas !), Eclipse, ou encore notepad++ (oui je sais rester simple aussi), je me suis arrêté sur Sublime Text.

Pour commencer, les puristes MAC connaissent probablement déjà cet éditeur qui a été créé pour compléter les lacunes liées à TextMateCe qui fait la force de ces éditeurs, c’est leur extrême modularité. En effet, vous pouvez éditer tous types de fichiers, dans tous types de langages, mais, et c’est surtout ici que réside le charme de ces applications, vous pouvez ajouter des greffons permettant des actions ou l’utilisation de protocoles non-inclus de base.

A savoir, cet éditeur est payant, il faudra vous acquitter de la modique somme de 70 $, ce qui n’est pas délirant compte tenu des possibilités, mais qui reste assez cher quand on sait que Netbeans, lui, est gratuit 😉

Interface Subl
source : http://www.sublimetext.com

 Installation aux petits oignons

Je passe l’installation de l’éditeur qui se fait via un package téléchargeable (Mac, Windows, Linux) depuis l’adresse : http://www.sublimetext.com/2. Une fois installée, l’application est directement exploitable avec le minimum de configuration. Vous pouvez voir dans la capture précédente une colonne à droite, reprenant l’ensemble du code pour un déplacement plus rapide dans les gros fichiers.

Pour ce qui est de la gestion des thèmes et des greffons, vous allez devoir installer un plugin appelé package control. Cet add-on s’installe directement depuis l’éditeur en utilisant la console (à ajouter depuis le menu de gestion de l’affichage).

Vous devrez copier – coller les lignes suivantes dans la console et valider par entrer :

import urllib2,os; pf='Package Control.sublime-package'; ipp=sublime.installed_packages_path(); os.makedirs(ipp) if not os.path.exists(ipp) else None; urllib2.install_opener(urllib2.build_opener(urllib2.ProxyHandler())); open(os.path.join(ipp,pf),'wb').write(urllib2.urlopen('http://sublime.wbond.net/'+pf.replace(' ','%20')).read()); print('Please restart Sublime Text to finish installation')

L’éditeur demandera à être redémarré afin d’appliquer les modifications. A partir de maintenant, vous avez accès à un nouveau menu :

Sublime Text - Package Control

Nous voilà à la fin de cette première partie. La prochaine étape sera la mise en place des greffons les plus utiles pour vos développements. Bien entendu, tout cela ne sera pas exhaustif, je ne saurais que trop vous conseiller de parcourir le web à la recherche d’autres avis. Si vous souhaitez suivre les actualités concernant cet éditeur, vous pouvez suivre @SublimeTxtTips via Twitter.

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Un peu de développement, Un peu de réseaux, un peu de formation, et le tour est joué ;-)

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